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Créé par actuarmagnacaise le 10 fév 2020 | Dans : actualité, agenda, com com armagnac, élection, gers, infos, mairie, politique
PANJAS
Le maire, Marie-Claude Mauras, après ce premier mandat de six ans, et dans la continuité, a décidé de se présenter aux élections municipales du 15 et 22 mars.
Durant ces six années, une équipe s’était rassemblée autour d’elle avec l’envie unanime de mettre toute son énergie au service de la commune :
« Nous nous étions engagés à mener des actions afin de rendre plus attractif notre village : ce que nous avons fait. Nous avons finalisé l’assainissement, effectué la viabilisation du lotissement (aujourd’hui trois lots sont réservés), construit des cuisines entièrement équipées à la salle des fêtes, rénové le bâtiment ouest des écoles mais aussi le côté nord de l’église… Ces investissements ont été réalisés sans augmentation d’impôts et de la dette communale. Durant nos six années de mandat, nous avons également travaillé sur deux dossiers importants : l’embellissement des traverses du village. À ce jour, ce projet, comprenant une partie sécuritaire préconisée par le Département, est acté et notifié. La réalisation aura lieu dès cette année. La mise en place d’un pôle multi-activités. La commune a racheté les bâtiments de l’ancien bistrot mais également la maison Guichené. Ils doivent être rénovés et nous avons déposé plusieurs dossiers pour aboutir à une réalisation pérenne. Nous tenons à revitaliser le centre bourg car nous tenons toujours à ce que notre commune demeure une terre d’accueil où il fait bon vivre.»
La nouvelle équipe compte encore finaliser l’accessibilité, préserver les bâtiments communaux, la piscine, le tennis, l’aménagement de l’aire de jeux et la mairie, et évidemment continuer d’apporter le soutien nécessaire aux associations.
La liste de Marie-Claude Mauras, sera révélée très prochainement.
Créé par actuarmagnacaise le 05 fév 2020 | Dans : actualité, agenda, com com armagnac, élection, gers, infos, mairie, politique
CAZAUBON-BARBOTAN LES THERMES
Lundi matin, Jean-Michel Augré, maire de Cazaubon-Barbotan les Thermes a présenté ses colistiers et a apporté les précisions suivantes :
« C’est la liste » Avec vous plus loin », liste apolitique qui considère que les intérêts de notre village doivent prévaloir. Elle est composée d’hommes et de femmes dont certains ont choisi de vivre ici mais aussi de s’investir. Tous sont engagés pour défendre les intérêts de leur village. L’équipe et moi-même présenterons bientôt notre programme, issu de nos réflexions mais en ayant pris en compte les souhaits et suggestions de nos administrés. Je conduirai donc avec cette liste la municipalité pendant les six prochaines années et n’ai aucune intention, comme cela se dit, de passer le flambeau quelque temps après notre élection. »
La liste « Avec vous plus loin » est composée de :
Jean-Michel Augré, 71 ans, chef d’entreprise retraité.
Marie-Christine Beaumont, 61 ans, directrice d’école retraitée.
Jean-Bernard Bidan, 47 ans, chef d’entreprise stratégies commerciale marketing.
Jean-Marc Boulin, 52 ans, responsable adjoint service voirie.
Alice carré, 34 ans, aide-soignante.
Chantal Castes, 69 ans, retraitée salariée sociale.
Marine Cuny, 26 ans, responsable marketing.
Claude Dubost, 72 ans, ingénieur retraité.
Jean-Louis Faivre, 52 ans, chef d’entreprise agricole.
Yann Hannequin, 46 ans, ouvrier professionnel qualifié.
Marie-Luce Lalanne, 56 ans, responsable de service grande surface.
Sylvie Macario, 64 ans, commerçante chef d’entreprise.
Daniel Mercklin, 70 ans, restaurateur retraité.
Marie-Ange Passarieu, 58 ans, attachée principale ressource.
Xavier Rabbe, 45 ans, chef d’entreprise courtier en assurances.
Magali Regembal, 36 ans, éducatrice.
José Ripoll, 46 ans, technicien bureau d’études.
Jean-Victor Sailly, 67 ans, kinésithérapeute.
Christelle Sentou, 37 ans, ouvrière qualifiée agroalimentaire.
Créé par actuarmagnacaise le 05 fév 2020 | Dans : actualité, com com armagnac, com com tenareze, com.com du Bas Armagnac, gers, infos, politique
GERS
Communiqué de la Préfecture
La mise en œuvre dans le département du Gers du dispositif d’installation d’un éthylotest anti-démarrage (EAD) comme alternative à la suspension administrative du permis de conduire.
Parmi les objectifs fixés par le Premier ministre en matière de sécurité routière figure la lutte contre la conduite sous l’emprise de l’alcool qui demeure l’une des principales causes de la mortalité et de l’accidentalité routières.
Le décret n° 2018-795 du 17 septembre 2018, complété par les instructions du ministre de l’Intérieur des 19 et 21 février 2019, fixe les conditions du déploiement de l’éthylotest anti-démarrage (EAD) comme alternative à la suspension administrative du permis de conduire.
Depuis le 1er février 2020, un conducteur présentant une alcoolémie de 0,4 à 0,9 mg/l d’air expiré1 pourra dans certaines conditions, se voir proposer cette alternative lui permettant ainsi de conduire uniquement des véhicules équipés de ce dispositif homologué. Dans le Gers, la durée de cette mesure est fixée à 4 ou 6 mois selon le taux relevé.
L’usage de l’EAD est une nouvelle réponse pour lutter contre les conduites addictives. Il concourt aux objectifs de sécurité routière tout en évitant la désocialisation qui peut résulter d’une suspension du permis de conduire. L’efficacité de ce dispositif responsabilisant et exemplaire est déjà démontrée en France comme à l’étranger.
Les conducteurs qui ne peuvent pas en bénéficier sont ceux :
Qui ont déjà commis au moins une infraction délictuelle, ou plusieurs infractions contraventionnelles, liées à l’alcool ;
Qui ont déjà fait l’objet de mesures de suspension, d’annulation ou d’invalidation de leur permis de conduire, quel qu’en soit le motif ;
Dont le titre de conduite se trouve encore en situation probatoire ;
Qui, lors du contrôle routier effectué par les forces de l’ordre, ne seront pas en mesure de leur remettre immédiatement, ou à défaut sous 24 heures, leur permis de conduire, ou qui se seront opposés au dépistage de l’imprégnation alcoolique ;
Ainsi que les personnes ne résidant pas sur le territoire national ou qui, de nationalité étrangère et domiciliées en France, ne disposent pas d’un permis de conduire français.
En 2017, 1 035 personnes ont perdu la vie, sur les routes françaises, dans un accident impliquant un conducteur alcoolisé. Au cours de cette même année, les forces de l’ordre ont constaté 123 926 délits d’alcoolémie, soit 20,8 % des délits routiers.
Dans le Gers, en 2019, les forces de l’ordre ont relevé 759 infractions liées à l’alcoolémie. 427 d’entre elles, soit 56 % du total, avaient un caractère délictuel. D’autre part, près de 20 % des 21 accidents mortels survenus au cours de cette année avaient en tout ou partie la consommation d’alcool pour origine.
À partir d’une concentration alcoolique de 0,4 mg/l d’air expiré (0,8 g/l de sang), l’infraction commise est un délit ; son jugement relève par conséquent du tribunal correctionnel.
Créé par actuarmagnacaise le 04 fév 2020 | Dans : actualité, agenda, com com landes armagnac, élection, infos, landes, mairie, politique
GABARRET
Philippe Turla, 54 ans, marié et père de deux enfants, agriculteur, a décidé de se présenter aux élections municipales du 15 et 22 mars 2020.
Lundi après-midi, Philippe Turla a tout d’abord rappelé ses nombreux engagements durant une quarantaine d’années :
« Durant ces années, je me suis fortement impliqué dans la vie associative de Gabarret, notamment une vingtaine d’années comme joueur de rugby (GAS). Durant 19 ans, j’ai été sapeur-pompier volontaire au Centre de secours de Gabarret, et président du comité des fêtes du quartier de la gare pendant 10 ans. Il y a 10 ans, à l’époque où l’école de musique a eu besoin d’un nouvel élan et d’un local plus adapté, j’ai accepté la présidence de cette association afin de contribuer à son développement et lui obtenir de meilleures conditions pour dispenser les cours de musique. »
Philippe Turla a eu bien d’autres engagements, notamment celui de conseiller municipal de Gabarret de 1996 à 2002. À ce sujet, Philippe Turla a précisé :
« Durant ces années en tant que conseiller municipal, j’ai appris le fonctionnement d’une commune. Mon investissement pour ce village et l’envie de mettre mes compétences et mon dévouement au service de Gabarret est toujours là, et c’est pourquoi je me présente à cette élection municipale avec 14 colistiers aussi motivés que moi. »
Philippe Turla a profité de l’occasion pour exprimer brièvement les orientations pour ces six années à venir, qui sont : l’amélioration du cadre de vie et de l’environnement, la réhabilitation et valorisation des bâtiments existants, l’accompagnement de la vie associative et la dynamique locale, soutenir les nouvelles initiatives, ainsi que défendre et représenter l’identité gabardanne auprès de la Communauté de communes des Landes d’Armagnac (CCLA) :
« Ces cinq points principaux nous semblent être vraiment importants pour notre avenir et pour endiguer la baisse de la population de Gabarret depuis ces six dernières années. Pour réaliser tous ces projets, évidemment nous avons besoin de tous. Tous les candidats de ma liste, qui sera révélée très prochainement et je n’en doute pas, donneront le maximum, chacun avec ses compétences, seront aux services des Gabardans. J’invite les Gabardans à assister à une réunion publique qui aura lieu le 12 mars à 19 heures, à la salle d’animation, réunion qui sera suivie d’un repas. »
Créé par actuarmagnacaise le 30 jan 2020 | Dans : actualité, com com armagnac, économie, gers, infos, politique
GERS
La baisse du barème de l’impôt sur le revenu a été votée dans la loi de finances pour 2020 au bénéfice de près de 17 millions de foyers fiscaux.
Grâce à la réforme du prélèvement à la source, cette baisse est applicable dès janvier, alors qu’elle ne l’aurait été qu’en 2021 avec l’ancien système.
Le gain moyen de cette baisse s’élève à 304 euros pour 44 000 foyers sur les 47 000 foyers imposables du département du Gers.
La Direction générale des Finances publiques et ses services locaux habituels sont à la disposition des personnes pour tout complément d’information.
Créé par actuarmagnacaise le 21 jan 2020 | Dans : actualité, com com landes armagnac, infos, landes, mairie, politique
PARLEBOSCQ
Lors de la cérémonie des vœux du maire Serge Tintané, qui a eu lieu vendredi soir au Foyer, après son mot d’accueil, le maire a ouvert son discours en précisant que la commune a 509 habitants et que pour l’année 2019, il y a eu une naissance, deux mariages et cinq décès.
Serge Tintané a ensuite précisé :
« Les élus se sont réunis lors de 8 conseils municipaux. Je rappelle que nous avons mis en place depuis 2017 le partage d’un agent communal avec la commune d’Escalans, cela fait l’objet d’une convention où nous mettons à disposition nos locaux et matériel, moyennant une participation de la commune d’Escalans. C’est la cinquième rentrée scolaire à Gabarret. Il y avait 13 enfants scolarisés dans le primaire public de Gabarret sur 57 que compte la commune et plus de 17 collégiens. Depuis cette rentrée, après plusieurs réunions de travail et des contraintes supplémentaires sur le maintien de la licence transport, nous avons fait le choix de ne plus assurer en régie le transport scolaire qui est géré à la région. Nous avons été sollicités pour regarder la rationalisation du transport commun entre le privé et le public. Nous avons fait valoir nos spécificités communales avec huit arrêts dont un par quartier. L’agent communal conducteur du bus a pu solliciter le poste de chauffeur, avec un contrat de droit privé. Les sites de stationnement se confirment, il restera à valider après concertation des familles, d’éventuels abris-bus sous réserve d’assurer les règles de sécurité lors de l’attente des enfants. »
Après avoir remercié les trois employés municipaux pour leur implication, leur discrétion dans l’accomplissement de leur travail, le maire a abordé l’environnement en précisant :
« Nous avons géré pour la deuxième année, la non-utilisation de produits de désherbage. Nous nous adaptons le plus possible et avec des printemps arrosés comme cette année, cela a augmenté les contraintes et nous devons gérer quelquefois des priorités. »
Le maire a ensuite apporté des précisions sur la décharge de la Communauté de communes des Landes d’Armagnac :
« Le projet photovoltaïque rentre dans sa phase d’autorisation administrative. Ce site, grâce à la récupération de matériaux en terre argileuse de différents chantiers du secteur, permet aujourd’hui à ce projet de réhabilitation, d’avoir un équilibre économique pour la CCLA. On devrait voir des travaux sur 2020. »
Le maire a ensuite rappelé que, depuis quatre ans, les élus ont travaillé sur le projet du schéma de cohérence et d’orientation du territoire (Scot), et qu’il est en vigueur depuis juillet 2019.
Au sujet de la voirie communale et communautaire, le maire a apporté de nombreuses informations, notamment sur les divers fauchages, passages d’épareuse, puis il a abordé le ralentissement du bourg :
« Une nouvelle étude a été réalisée avec un comptage qui met en avant que seulement 10% des conducteurs sont de vrais dangers inconscients. La fréquentation sur la RD37 est de 650 véhicules jour et la vitesse moyenne dans le sens Landes-Gers est de 70 km/h. Dans le sens Gers-Landes elle est de 77 km/h pour 85% de véhicules, et il y a 7 à 12 km/h de différence entre le jour et la nuit où la vitesse est supérieure. 45% des véhicules roulent à moins de 50km/h. »
Après avoir détaillé les différentes solutions, chicanes, haricot, dos d’âne, et leur coût, Serge Tintané a précisé :
« Le conseil municipal a validé la proposition de mettre des radars pédagogiques pour faire réduire la vitesse, complétés d’un marquage au sol central pour simuler le rétrécissement de la route… Plus accidentogène, le croisement RD36 et RD37 où je constate une dizaine d’accrochages. On a demandé une nouvelle étude qui est en cours et nous aurons les résultats au prochain conseil. »
Serge Tintané a rappelé la création d’un columbarium au cimetière de Saint-Cricq, l’arrivée de la fibre optique pour fin 2021, et que le taux d’imposition n’a pas été augmenté depuis 19 ans. Puis il a détaillé la richesse de la vie associative et a conclu son discours en remerciant les bénévoles qui avec leur dynamisme s’impliquent et contribuent à la vie du village en proposant de nombreuses animations et divertissements. Il a enfin remercié l’ensemble du conseil municipal.
Créé par actuarmagnacaise le 20 jan 2020 | Dans : actualité, com com armagnac, élection, gers, infos, mairie, politique
CAZAUBON-BARBOTAN LES THERMES
Jean-Michel Augré, maire de Cazaubon vient de déclarer qu’il se représentait aux élections du mois de mars pour poursuivre le redressement de l’image de la commune, et continuer ce qu’il a engagé avec ses conseillers municipaux. Le maire a précisé :
« Si je me suis présenté en 2014, c’est parce que j’ai constaté que l’important potentiel local était mésestimé par manque de soutien, d’accompagnement, d’écoute et de vision de ce que pouvait devenir Cazaubon-Barbotan les Thermes. Pour combler tout ce retard accumulé, j’ai durant ce mandat, avec mon équipe, mis en place une stratégie de développement innovante et salutaire pour notre ville avec de nombreux projets déjà réalisés, comme la réorganisation des services communaux, l’aménagement des espaces publics, la voirie et bien d’autres. J’ai donc l’ambition de poursuivre afin que notre ville continue à retrouver tout son aura et son poids économique naturel, et qu’elle puisse jouer également tout son rôle d’influence au sein d’un territoire lui aussi en profonde mutation. »
Le maire a aussi constaté que la tentation est grande pour d’autres collectivités d’absorber la substance même de l’économie locale :
« Notre capacité à offrir encore des services publics locaux, une qualité de service de santé de proximité, d’accueillir nos tout petits dans une maternelle ou encore d’avoir des emplois de service de proximité. Cette capacité est enviée, épiée, convoitée. Je n’ai pas l’intention de voir partir ailleurs, ou d’entendre parler de « délocalisation » comme cela a failli être le cas avec le collège. Les parents d’élèves ont vu les dégâts potentiels qu’une politique non réfléchie pouvait entraîner. Heureusement, ils se sont battus et nous avec eux, fortement, pour que le collège ne ferme pas et il ne fermera pas. Je l’ai dit et je le redirai tant que je suis maire, plus rien ne partira de notre commune. »
Jean-Michel Augré présentera bientôt aux Cazaubonnaises et Cazaubonnais tous les membres de sa liste. À ce sujet le maire a précisé :
« Ma liste est composée de femmes et d’hommes particulièrement compétents et polyvalents, apolitiques et avec leurs valeurs, collaborant depuis un certain temps à la réflexion, la rédaction, au chiffrage et enfin à la préparation de la mise en application de ce programme ambitieux. Personne ne sera oublié, laissé sur le côté ou ignoré, jeunes, actifs, en recherche d’emploi, porteur de projets ou retraités, chacun, et je dis bien chacun, sera concerné et pourra s’impliquer s’il le souhaite. Nous intégrons dans notre programme une conception avant-gardiste des mobilités (le covoiturage n’en est qu’au début), la requalification des axes de transports, la création des lieux de vie partagés par toutes les générations, ou encore et par exemple, nous travaillons depuis six mois à un projet de résidence optimisée pour séniors. Notre volonté politique est grande, tenace et les solutions sont là. Le seul paramètre est le temps. »
Le maire a aussi rappelé que Cazaubon-Barbotan a changé en six ans en apportant les précisions suivantes :
« Après notre élection, nous dépenserons notre énergie et uniquement notre énergie à autre chose que de la petite politique. La liste que je conduirai pendant six ans ne sera ni de gauche, ni de droite, son seul parti, c’est Cazaubon et la seule ambition qui nous anime, mes colistiers et moi, sera d’être acteurs pour cette ville que nous aimons pour les six années qui viennent. Dans un match de rugby, il y a deux mi-temps, la première permet d’apprécier le jeu, la deuxième sert à mettre en œuvre la stratégie. Le premier mandat permet d’apprendre et de commencer à faire, le deuxième permet de faire et de transformer l’essai. À l’issue de ces six prochaines années, Cazaubon sera là où tous les regards se porteront car nous aurons fait bouger les choses et cela se verra inexorablement. »
Créé par actuarmagnacaise le 16 jan 2020 | Dans : actualité, com com armagnac, com com tenareze, com.com du Bas Armagnac, économie, éducation, gers, infos, politique
GERS
Communiqué de la Préfecture
Catherine Séguin, préfète du Gers, Elisabeth Dupuy-Mitterrand, présidente du Pays d’Armagnac, les représentants de l’ADEME et de la Banque des Territoires ont signé ce 15 janvier 2020 le contrat de transition écologique du PETR Pays d’Armagnac.
Démarche innovante, le contrat de transition écologique (CTE) est un outil visant à accompagner et soutenir les territoires qui font le pari d’une transition écologique génératrice d’activités économiques et d’opportunités sociales. Spécifique à chaque territoire, il est co-construit à partir de projets locaux, entre les collectivités locales, l’État et les acteurs socio-économiques.
Il a pour ambition de démontrer par l’action que l’écologie est un moteur de l’économie en développant l’emploi local par la transition écologique (structuration de filières, développement de nouvelles formations…) et en agissant avec tous les acteurs du territoire, publics comme privés, pour traduire concrètement la transition écologique.
Suite à une importante concertation des acteurs locaux, le contrat du Pays d’Armagnac est bâti autour de 5 thèmes stratégiques pour l’économie du territoire :
L’alimentation durable de proximité,
L’agroécologie en viticulture,
L’écotourisme,
Les énergies renouvelables et économies d’énergie,
La mobilité.
10 actions concrètes ont été retenues pour la première année de vie de ce contrat, parmi lesquelles par exemple, la création d’un centre d’éducation et de formation à l’alimentation durable pour la Communauté de communes de Bas Armagnac, la création d’un parcours valorisant les milieux naturels du Pays, la création d’un bassin nordique à Nogaro.
Dans le cadre du CTE, pour ces 10 actions, dont le coût total est estimé à plus de 4,8 millions euros HT, l’État apporte un financement exceptionnel : près de 55 % de co-financement État au total.
Pour mémoire, le PETR Pays d’Armagnac fait partie des 61 territoires retenus au niveau national, en juillet dernier, par la Ministre de la transition écologique, pour s’engager dans ce contrat qui complète l’engagement du Pays et de ses communautés de communes adhérentes (Artagnan en Fezensac, Bas-Armagnac, Grand Armagnac et Ténarèze), à mettre en place des Plans Climat Air Energie Territoriaux en 2020.
Créé par actuarmagnacaise le 16 jan 2020 | Dans : actualité, agenda, com com armagnac, élection, gers, infos, mairie, politique
CAZAUBON-BARBOTAN LES THERMES
Mercredi matin, Isabelle Tintané, conseillère départementale et candidate aux élections municipale de mars 2020, a présenté la liste qu’elle conduira « Vivre Ici Demain ». Isabelle Tintané a apporté les précisions suivantes :
« Cette liste est composée de femmes et d’hommes venant d’horizons professionnels et politiques divers avec des compétences complémentaires, pleine d’énergie, d’engagements et de motivation, portés par les mêmes valeurs servir Cazaubon et ses habitants. Prochainement nous ouvrirons de notre site internet, suivi de nos documents de campagne dans les boîtes à lettre.
Liste « Vivre Ici demain »
Tintané Isabelle, 50 ans, responsable administrative.
Bernadet Guy, 68 ans, hôtelier, restaurateur retraité.
Bernard Marie, 39 ans, œnologue formatrice .
Bibe Céline, 47 ans, cadre de santé.
Bibe Franck, 52 ans, infirmier.
Claria Agnès, 48 ans, fonctionnaire territorial.
Charbonnier Stéphanie, 47 ans, assistante de direction.
Daulan Angélique, 32 ans, professeur des écoles.
Delhoste Pierre, 60 ans, retraité fonction publique.
Drapier Monique, 68 ans, orthopédiste- orthésiste.
Diederich Henri, 81 ans, artisan retraité.
Heribel Julie, 42 ans, esthéticienne.
Hueso Patrice, 51 ans, agent d’entretien routes.
Doumenjou Elisabeth, 59 ans, infirmière libérale.
Dumolie Max, 59 ans, maître de chai.
Expert Didier, 58 ans, responsable pôle social cabinet comptable.
Laporte Régis, 53 ans, agriculteur.
Moncassin Catherine, 54 ans, chargée de clientèle.
Monge Éric, 50 ans, agriculteur.
Créé par actuarmagnacaise le 15 jan 2020 | Dans : actualité, com com armagnac, com com tenareze, com.com du Bas Armagnac, gers, infos, mairie, politique
GERS
Communiqué de la Préfecture
La lutte contre l’habitat indigne, qui recouvre à la fois des enjeux sociaux, de sécurité et de santé publique, est une des priorités de la politique du logement menée par le Gouvernement.
Elle est mise en œuvre à travers des mesures incitatives, notamment des aides financières et un accompagnement des propriétaires pour la rénovation durable de leur logement ; et, quand cela est nécessaire, à travers des mesures coercitives et pénales à l’encontre des bailleurs indélicats et des marchands de sommeil. Il s’agit, pour ces derniers, de bailleurs qui tirent profit de la détresse des plus démunis et qu’il faut traquer sans relâche.
Le Gouvernement a renforcé les sanctions contre ces trafiquants de misère.
La loi ELAN prévoit ainsi l’instauration des mêmes sanctions financières que pour les trafiquants de drogue :
la présomption de revenus tirés des activités frauduleuses ; la confiscation systématique de leurs biens et des indemnités d’expropriation ; l’impossibilité d’acquérir de nouveaux biens pendant 10 ans, au lieu de 5 ans auparavant, notamment aux enchères ; l’obligation pour les syndics et les agences de les dénoncer.
Afin de venir en aide aux personnes victimes de ce type de situations, généralement les plus vulnérables, un numéro unique est désormais disponible depuis cet automne (0806 706 806). Il est destiné à recueillir les signalements effectués par des locataires ou des tiers.
Dans le Gers, on évalue le taux du parc privé potentiellement indigne à 6,13 % (soit 5 400 logements potentiellement indignes).
Depuis 2006, un pôle départemental de lutte contre l’habitat indigne (PDLHI), a été constitué en collaboration avec les magistrats du Parquet. Animé par la direction départementale des Territoires, il a pour mission de définir une stratégie et une politique de terrain et de coordonner l’action des acteurs de la lutte contre l’habitat indigne dans le repérage des situations, l’accompagnement individuel des ménages.
Selon les cas, le règlement de ces situations relève des pouvoirs de police exercés par les Maires (ou présidents des communautés de communes ou d’agglomération) ou bien des Préfets. Les élus locaux, de par leur proximité avec la population, jouent en ce sens un rôle de premier plan, aux côtés de l’État, pour remédier à ces situations d’habitat indigne.