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GABARRET

Vendredi 21 février, au collège Jules-Ferry,  Isabelle Gubert, professeur d’anglais, avait réuni dans sa classe les 11 collégiens de troisième qui ont participé aux échanges avec des partenaires européens grâce au projet Erasmus + , mis en place pour cette année 2025.

 Cette matinée-là, huit autres élèves se sont joints au premier groupe et avec leurs camarades participeront à l’élaboration du programme, ainsi qu’à l’ accueil au mois d’avril, à Gabarret des Lycéens Turcs, Italiens  et Espagnols.

 Ce partenariat simplifié est une opportunité pour les collégiens du plus petit collège Landais et ouvre une possibilité à une accréditation Erasmus+  de l’établissement scolaire. Cette accréditation permettra à une classe entière de partir à l’étranger pour un séjour d’échange.

Avant d’aborder la venue des lycéens, les 11 élèves  ont commenté avec beaucoup d’enthousiasme cette aventure enrichissante pour eux à tous les niveaux, relationnel, linguistique, culturel …

Du 22 au 27 septembre les groupes d’élèves et d’enseignants  se sont rendus à Mersin, en Turquie, pour leur première mobilité dans le cadre du projet Better : Be climate Mate :  

 « Les élèves des écoles partenaires venaient d’Italie (Lucera), d’Espagne (de Santa Cruz de Tenerife au Canaries) et de Gabarret (France).  Les élèves ne s’étaient vus qu’en visio  conférence. Lors de ces séances, ils se sont présentés, ont crée leur logo et slogan pour représenter la case commune et ont suivi des cours en ligne menés par leurs professeurs. Les présentations étaient en anglais » .

En Turquie,  parmi les temps fors, les adolescents ont découvert  la vie locale  et les efforts de conservation des tortues de mer par une association : «  L’attention portée par leur correspondant et leur famille a permis une intégration parfaite. »

En Italie , du 4 au 8 novembre, pour un autre groupe  ce fut la découverte de  l’alimentation  zéro kilomètre et de créer un livre de cuisine présentant des recettes de chaque pays partenaire à partir d’ingrédients d’origine locale. 

En Espagne, du 10 au 14 février,  le dernier groupe a découvert  une ferme agro-écologique, récréative et éducative : « Un espace de référence international. »  

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GABARRET

Au 54 boulevard Saint-Martin,  Martine Fraile a ouvert un cabinet de Réflexologie « le Colibri ». 

Avant sa reconversion professionnelle

Martine Fraile  était précédemment  et durant de nombreuses années  aide-soignante à l’hôpital de Brive-la-Gaillarde. Elle a exercé son métier dans des services pointus comme la néphrologie, la réanimation, les urgences, en cardio, ainsi qu’aux soins intensifs et en salle de coronarographies :

« Mon époux  et moi -même,  avions pour projet de descendre dans le Sud de la France et ce vers l’année 2028.  Mais le destin en a décidé autrement et le 13 octobre 2021, on me découvre un cancer du sein agressif et pourtant de 4mm. Ce fut l’arrêt de travail  le 1^er novembre 2021 et jour de retraite de mon mari. Après les soins adaptés notamment la tumorectomie partielle du sein gauche et chaîne ganglionnaire, la radiothérapie et hormonothérapie et  fin des traitements par radiothérapie en avril 2022, nous avons vendu notre maison  et sommes partis à la recherche  dans le Sud. Nous nous sommes égarés avec le GPS et nous sommes arrivés à Gabarret  que nous avons de suite aimé. L’adoption s’est faite immédiatement avec les gabardans et gabardanes. »

Martine Fraile est certifiée Réflexologue et relaxologue

Martine Fraile a réalisé une reconversion professionnelle avec «  ADS certifié Qualiopi ». Martine Fraile est donc certifiée Réflexologue et relaxologue. Pour elle, c’est une merveilleuse aventure professionnelle qui lui permet de pratiquer la réflexologie plantaire, palmaire, crano faciale, massages bien-être, comforting touch psychoo, massage par effleurage épicritique…

Son installation à Gabarret

Martine Fraile  a donné des précisions sur l’ouverture  de son cabinet à Gabarret : «  Nous vivons à Gabarret, c’est notre village. Les villes d’Eauze et de Mont-de-Marsan me proposaient un local  avec une aide à l’installation. J’ai refusé ces offres pour rester sur Gabarret. Malheureusement, même reconnue RQTH, je n’ai eu droit à aucune aide de l’AGEFIP, la CCLA du département ou de la Région. » Malgré ces premiers clients, Martine Fraile reconnait qu’elle va galérer financièrement  surtout qu’elle a entrepris des travaux sur le local afin de l’adapter à sa clientèle. 

Martine Fraile reçoit sur rendez-vous, mardi, mercredi, jeudi et vendredi de 10 à 12 h 30 et de 14 à 18 heures, et le samedi de 9 h 30 à 12 h 30 et de 14 à 18 heures.  Au besoin, elle adapte le rendez-vous  en fonction de la personne. L’horaire peut-être flexible. 

Contact: 07 43 35 22 85 

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PARLEBOSCQ-CREON D’ARMAGNAC

Les élèves CM1 et CM2  du RPI de l’école de Créon d’Armagnac ont planté des arbustes à haies  chez Sébastien Galloy à la ferme l’Oustal, et les CM1 et CM2 de la Gabardanne de Gabarret les ont plantés sur la propriété d’Émilie Deligny à Parleboscq.

Tous les élèves sont revenus enchantés de cette matinée dans la nature.

Cette aventure pédagogique qui a eu lieu le mardi 18 mars avait été précédemment préparée en classe.

Dés 9 h 30, les élèves bien sensibilisés sur l’opération menée par l’association « Des Enfants et des Arbres », se sont rendus sur les chantiers où Sébastien Galloy et Émilie Deligny les attendaient en compagnie de bénévoles et de membres de l’association « Des Enfants et des Arbres ». 

Le chantier a été aussi réalisé en partenariat technique avec l’association « Arbre et Agriculture ».

Cette mission pédagogique et citoyenne est agréée par l’Éducation Nationale.

Les organisateurs de ces plantations ont précisé : «  Par ce geste solidaire et responsable, notre objectif est de participer au retour des haies bocagères et au déploiement de l’agroforesterie. 

Au total ce sont 50 élèves qui ont participé à cette opération de plantation d’arbustes avec paillage. Les accompagnateurs en ont profité pour sensibiliser les élèves  sur l’utilité des haies, notamment  sur  la protection des cultures, ainsi que sur les abris naturels  qui servent aux insectes et aux oiseaux.

À Parleboscq, les élèves de la  Gabardanne ont planté plus de 100 arbustes qui avec leurs baies serviront aussi de nourritures aux oiseaux.  À Créon d’Armagnac, les CM1  et CM2, ont planté 400 arbustes sur les 1 800 prévus.

Après la plantation de ces arbustes,  les élèves se sont restaurés dans une ambiance champêtre grâce à un super pique-nique.

Les enfants ont été enchantés de cette matinée qui leur a laissé d’excellents souvenirs, et ils souhaitent recommencer l’opération.  

Sur le  site de Créon d’Armagnac, les jours suivants,   les 1 400 arbustes restant, ont mobilisé   des bénévoles et des voisins de Sébastien Galloy.

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 GERS

Photo: Côte de Gascogne

Le Palmarès des Vins Côtes de Gascogne, lors du Concours Général Agricole qui s’est tenu dimanche 23 février 2025 à Paris.

Cette année ce sont 58 médailles décernées pour la filière et ses vignerons.

  Le Concours Général Agricole catégorie « vins » s’est tenu dimanche 23 février 2025 au Parc des Expositions de Paris lors du Salon International de l’Agriculture.

Les vins IGP Côtes de Gascogne et IGP Gers ont été soumis à l’appréciation d’un jury composé d’amateurs avertis et de professionnels du vin. Cette édition 2025 confirme une nouvelle fois l’excellence des productions locales, avec un total de

58 médailles décernées, dont 29 médailles d’or, 28 médailles d’argent et 1 médaille de bronze.

Cette reconnaissance réaffirme la place incontournable du concours pour les producteurs. Pas moins de 199 vins issus de 44 opérateurs vinificateurs (vignerons indépendants, caves coopératives et négociants vinificateurs) ont été présentés, témoignant de l’attachement des professionnels à cet événement référent dans le monde viticole.

Après plusieurs années marquées par des défis climatiques et sanitaires impactant les rendements, le millésime 2024 s’affirme avec panache. La qualité des vins est au rendez-vous, exprimant toute la richesse du terroir gascon :

• Blancs secs : issus du colombard, du sauvignon et du gros manseng, ils dévoilent une belle vivacité et des arômes expressifs de fruits exotiques et d’agrumes.

• Blancs moelleux et doux : à base de gros et petit manseng, ils offrent une palette tendre et charmeuse, aux notes de fruits frais (ananas, pêche, abricot) et confits.

• Rosés : éclatants de fraîcheur, ils expriment des arômes intenses de framboise et groseille, avec une belle vivacité.

• Rouges : gourmands et savoureux, ils charment par leur légèreté et leur fraîcheur.

 Les Côtes de Gascogne restent fidèles à leur signature : « Frais, Fruités et naturellement Légers », avec des teneurs en alcool modérées en blanc et rosé (entre 9 et 11,5 % vol.).

Une belle reconnaissance pour ces vins d’exception qui continuent de s’imposer comme des références incontournables du vignoble français

 Le palmarès des vins IGP Côtes de Gascogne et Gers s’annonce fièrement.

- 29 médailles en Côtes de Gascogne blancs secs

- 13 médailles en Côtes de Gascogne blancs moelleux/doux

- 11 médailles en Côtes de Gascogne rosé

- 5 médailles en Côtes de Gascogne rouge 2023 et 2024

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EAUZE

 Pour défendre les intérêts des acteurs de l’Armagnac, le BNIA sera présent sur les stands institutionnels de la Fédération française des Spiritueux (FFS – HALL 2.2 STAND C011) et du Comité National des Interprofessions Viticoles (CNIV – HALL 2.2 STAND B116).

 Cognac et Armagnac : 14 mois d’attente vaine. 50 millions d’€ de perte par mois !

Nous en appelons au premier ministre

Il s’agira aussi pour les filières Cognac et Armagnac (BNIC & BNIA) avec la Fédération des Exportateurs des Vins et Spiritueux (FEVS) de demander « solennellement au Gouvernement de tenir ses engagements : une négociation imminente avec la Chine afin de permettre une levée de toutes les restrictions qui pèsent sur notre filière, dans les plus brefs délais. Face à l’urgence de la situation, les représentants de nos filières souhaitent, lors du SIA, échanger avec le Premier ministre sur les actions concrètes qu’il entend mener dans les prochains jours ». 

 Jérôme Delord , président du BNIA fait part de très grande inquiétude :

« Notre dynamique sur laquelle nous surfions depuis plusieurs années sur le grand Export est à l’arrêt. Nous sommes très inquiets par cette inertie politique. Il est urgent de redonner de la vision positive à nos marchés. Nous implorons une suite aux promesses du Président et du Gouvernement ».

 Depuis plus d’un an, le Cognac et l’Armagnac sont sous le coup d’une enquête anti-dumping injustifiée, déclenchée par les autorités chinoises, en réponse à une décision européenne, dont nous ne nous sommes en rien responsables.

Depuis début octobre, nos exportations sont soumises à un cautionnement bancaire par les douanes , chinoises, ayant un effet équivalent à des taxes anti-dumping. Ces mesures punitives ont déjà entraîné une baisse de 50 % de nos expéditions chaque mois.

De plus, nous sommes confrontés à une exclusion du Cognac du circuit duty free en Chine et malgré nos démarches et protestations appuyées par les autorités européennes, rien n’indique malheureusement que ce canal de vente nous sera réouvert à court terme.

L’impact de cette situation sur nos filières et leur écosystème, représentant aujourd’hui plus de 70 000 emplois directs et indirects, est douloureux et pourrait continuer à s’aggraver. Une potentielle perte du marché chinois pour nos appellations mettrait en péril l’avenir de milliers de familles.

En novembre dernier, le Président de la République s’était engagé à obtenir l’ouverture d’une négociation gouvernementale bilatérale avec la Chine. Le Premier ministre devait se rendre en Chine début 2025, mais rien ne se passe : « À ce stade, aucune date n’est fixée pour ce déplacement et aucune négociation n’a été lancée, ni même préparée » déclare Gabriel Picard, président de la Fédération des Exportateurs de Vins & Spiritueux (FEVS).

« Les engagements politiques pris à notre égard doivent être honorés. L’attente n’est plus justifiable. »

Nous demandons solennellement au Gouvernement de tenir ses engagements : une négociation imminente avec la Chine afin de permettre une levée de toutes les restrictions qui pèsent sur notre filière, dans les plus brefs délais.

Face à l’urgence de la situation, les représentants de nos filières souhaitent, lors du SIA, échanger avec le Premier ministre sur les actions concrètes qu’il entend mener dans les prochains jours. Ils demandent des actes et non des promesses.

« Si rien n’est fait, la situation de nos filières va continuer à se dégrader, jour après jour, et va devenir catastrophique. L’action gouvernementale que nous attendons depuis des mois doit maintenant urgemment être mise en place. Chaque mois qui passe nous perdons plus 50 millions d’euros et cela nous fait basculer vers un désastre économique et social déjà très perceptible. » rappelle Florent Morillon, président du Bureau National Interprofessionnel du Cognac (BNIC).

Pour Jérôme Delord, président du Bureau National Interprofessionnel de l’Armagnac (BNIA) : « Notre dynamique sur laquelle nous surfions depuis plusieurs années sur le grand Export est à l’arrêt. Nous sommes très inquiets de cette inertie politique. Il est urgent de redonner de la vision positive à nos marchés. Nous implorons une suite aux promesses du Président et du Gouvernement. »

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CASTELNAU D’AUZAN-LABARRERE

 L’équipe senior de l’Auzan Basket club (ABC) ,est bien repartie après la mise en veille due au Covid et aux difficultés occasionnées pour fédérer à nouveau des féminines motivées et assez disponibles pour redynamiser le club.

La relance s’est mise en place tout en douceur avec une année où les anciennes et nouvelles basketteuses ont partagé de très  bons moments d’entrainements dans une ambiance sportive, sérieuse, et très amicale, qui leur a permis d’évoluer dans une très bonne  cohésion.

L’équipe a pour préparateur sportif Pierres Jacomet et comme coach  Anne-Claire Stryszyk.

Le bureau est composé de la présidente Marie Castay, du vice-président Laurent Kellener, de la trésorière Mathilde Mattéï et la vice-trésorière Patricia Bianchini, de la secrétaire Séverine Kellener et la vice-secrétaire Cénilia Kellener.

C’est en pleine forme et avec beaucoup de dynamisme que  l’équipe attaque l’année 2025, toujours dans la bonne humeur et la confiance.

Elles sont là pour jouer, se faire plaisir et évidemment défendre au mieux les couleurs de Castelnau d’Auzan-Labarrère.

À l’heure actuelle, l’équipe est 3^e de sa Poule qui compte sept équipes. L’ABC  s’investit pour atteindre l’objectif fixé qui est de monter au niveau supérieur.

L’école de basket s’est bien remise en place et déjà  connait une bonne fréquentation.

Contact : 07 72 14 66 07.  

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GABARRET

Une intense activité règne tous les lundis soir en salle de technologie au Collège privé Saint-Jean Bosco. Ce soir-là, la salle est dans une configuration étonnante : des tabourets seuls ou parfois par deux, reliés au-dessus par un pont et formant une arche, sont posés sur toutes les tables et font tout le tour de la salle, comme un parcours d’obstacle jusqu’à la dernière table où une cible est collée. « Vous devez passer à hauteur de tabouret, pas au-dessus, ni en dessous, puis ici vous passez sous le pont, là au-dessus et enfin vous vous posez sur la cible » indique, un drone entre les mains, Jean-Pierre Gaujous, professeur de technologie à une quinzaine d’élèves très attentifs. « Si les quatre moteurs sont dans la cible on enlèvera à votre temps 15 secondes et si aucun moteur est dans la cible on rajoutera 15 secondes… » Ainsi le professeur continue durant plusieurs minutes à donner ses consignes, puis les collégiens sortent leurs smartphones, recherchent une application, pendant que l’enseignant inscrit les prénoms sur son tableau. « Ce soir c’est du pilotage de drone de précision et de vitesse, puisqu’on prend en compte les obstacles et le temps » précise l’enseignant. Au signal, le chronomètre est lancé et l’un après l’autre, chaque élève manipule alors son smartphone, fait décoller le drone pour le guider tout au long du parcours aux difficultés multiples, sous les encouragements des camarades. Les joies et déceptions s’enchainent pendant que le classement évolue. « Cet atelier drones a débuté au mois de septembre et avant de passer au pilotage, les élèves ont découvert l’histoire de l’aviation et les dates clés, la réglementation et les usages des drones, les différents types de drones et enfin le drone Tello qu’ils utilisent maintenant pour apprendre à piloter et qui est aussi un drone programmable » ajoute M.Gaujous.

Un pôle aéronautique et spatial                                                                                                                                                                                   « Ainsi, après les ballons stratosphériques envoyés dans l’espace par nos lycéens et sélectionnés par le CNES de Toulouse, la préparation au BIA (Brevet d’Initiation Aéronautique) pour nos collégiens et lycéens en partenariat avec le Rectorat de Bordeaux, la fabrication, la programmation et le lancement par nos lycéens de micro-fusées connectées, en partenariat avec le CNES et Planète Sciences, nous complétons notre pôle aéronautique et spatial. En 2025, l’impact croissant des drones dans notre quotidien, que ce soit dans les secteurs civils ou militaires, est devenu incontournable, c’est donc intéressant de proposer cet atelier supplémentaire à nos élèves » conclut Aubert Cruchon.                                                                                                        

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LOSSE

C’est dans la salle Raphaël-Jourdan que s’est déroulée la Sainte-Barbe, samedi 1^er février, en présence de Marcel Pruet, président du Sdis des Landes ; du lieutenant  Philippe Larrieu, chef de pôle ; des maires Bruno Lacoste (Losse), Jean-Luc Darroman (Maillas), Marie-Joëlle Capot (Lubbon),  des représentants des centres d’incendie et de secours voisins. 

Le lieutenant Pascal Danné, chef du centre lossais, a tout d’abord remercié le président du Sdis des Landes, et les maires pour leur présence.

Le chef a rappelé la création du centre lossais en 1993 en précisant : « Depuis, nous sommes là. Notre centre couvre 20 000 hectares sur les trois communes. Ce secteur a tendance à évoluer car nous allons récupérer une partie des communes de Baudignan et d’Arx. On perd une partie de Maillas qui sera assurée par le centre de Captieux qui est plus près. »

Le chef a ensuite présenté les 87 sorties de  2024 qui se répartissent avec sept feux de forêt, cinq opérations diverses, 14 accidents de la voie publique et  une nette augmentation de secours à personnes avec 61 interventions.

 Pour ces dernières interventions, le centre  n’a qu’un véhicule  de prompt secours et ne peut pas assurer le transport des victimes vers un hôpital. C’est un autre centre qui intervient pour le transport. Afin d’améliorer ce secours, le lieutenant et le maire ont formulé la demande d’avoir sur Losse un VSAV.

Cette demande se justifie par l’augmentation du secours à personne due à l’augmentation d’une population vieillissante sur un vaste secteur rural.  

 Le maire a insisté sur le secours à personnes, estimant qu’un VSAV permettrait d’intervenir correctement et en gagnant du temps. 

Les effectifs sont de 11 sapeurs-pompiers volontaires dont sept de Losse, deux de Lubbon, un d’Estigarde, et une de Vielle Soubiran qui a une double affectation Gabarret-Losse.

En conclusion de son intervention, le lieutenant a remercié les sapeurs-pompiers lossais  qui ont assuré une présence de 5 000 à 7 000 heures. Bruno Lacoste a vivement remercié les sapeurs-pompiers de Losse pour leur engagement sans faille.

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 COURRENSAN

Lundi 3 février, l’Office de Tourisme Armagnac et d’Artagnan a lancé son premier « Petit Dej » à la Maison Armagnac Veuve Goudelin à Courrensan. Ce rendez-vous à destination des professionnels du tourisme, a réuni une trentaine de personnes répartie sur 2 temps autour de quelques crêpes pour le clin d’œil de la Chandeleur, pour échanger sur la visibilité numérique. Parmi eux des hébergeurs, producteurs, activités et sites touristiques et associations. 

Un site internet en plein essor : les experts de l’Office de Tourisme ont fait un point sur la fréquentation du site internet. Un an après son lancement, le site www.armagnac-dartagnan.com enregistre 220 000 visites et 410 000 pages vues. Le trafic organique est fort, avec 145 000 utilisateurs via Google. Parmi les utilisateurs français les plus fréquents ce sont les internautes des régions de Paris, Bordeaux, Lille et Toulouse. 

Un accompagnement sur-mesure pour les prestataires : fort de son expertise et d’une professionnalisation accrue appréciée des prestataires, l’Office de Tourisme propose des services leur permettant d’accroître leur visibilité et de les accompagner dans la création de contenu. Pour les prestataires intéressés, retrouvez tous ces services à la carte dans l’espace pro du site internet. 

Une dynamique collective : ce premier « Petit Dej » a favorisé les échanges et mis en lumière les opportunités offertes par l’Office de Tourisme. Une initiative bien accueillie, qui sera renouvelée pour accompagner le développement du tourisme de notre destination. Plusieurs rendez-vous thématisés sont prévus dans l’année. 

Merci aux propriétaires de la Maison Armagnac Veuve Goudelin pour leur accueil chaleureux.

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